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la vie des filles n'est pas facile...http: //drkaroloth.c enterblog.net
Par drkaroloth, le 27.06.2013
c'est assez fou cette façon de courir après un chrono. je n'ai jamais très bien compris la motivation. etre au
Par drkaroloth, le 26.06.2013
Date de création : 16.04.2013
Dernière mise à jour :
20.06.2013
15 articles
Tout commence un jour normal. Un jour banal, de cours. Un mardi je crois. Je n'y avais prêté aucune importance. Aucune. Cela faisait quelques jours que J. nous soûlait avec son triathlon. Et, avant, notre prof d'EPS nous en avais aussi parlé. Alors, j'ai dit OK, je vous accompagne, pas de soucis. Je cours plutôt vite, et saute plutôt haut. Le poids ? Jamais fait, à tester ! Fiches remplies, feuilles rendues... Tout s'est enchaîné hyper vite. Je m'en rendais à peine compte. Et puis, avouons-le, je m'en moquais. Et ce mercredi matin, plus d'une semaine après mon accord, je me retrouvais dans la cour, stressée, riant avec J. . Ma première compet'. Pas de grands résultats, évidemment, mais un bon amusement. J'adhère bien. Alors, bon, j'y retourne. Ma course s'améliore, je passe de 8.6 à 8.4... Une année de folie passe. Vers la fin, je m'inscris (gratuitement, ah, ah !) à l'AS, pour 4 cours. Les vacances passent, banales. Je ne retourne pas à l'AS. Emploi du temps trop chargé, la flemme... Et pourtant, Marie revient à la charge. Encore une fois, je cède. Je m'inscris. La première compet' de l'année arrive juste après les vacances de Toussaint. Le cross. Malgré un entraînement de ouf, avec l'AS, comme en solo, je ne suis pas forte en course de fond. Puis le triathlon. Etant donné que, l'an dernier, j'ai raté la hauteur, je prends cette fois la longueur. 7.90 en 50 mètres. 3.96 en longueur. Wahou ! Malgré une piètre (comme d'hab !) performance en poids, je me classe 2nde de Paris. Qualifications s'enchaîne, extérieur, intérieur... Une restera à jamais dans mon cœur. Enfin, 2. Celle où j'ai passé 7.44 en 50 mètres, où je me suis qualifiée au championnat de France, et celle, ma favorite, où j'ai eu mes deux coachs favoris, l'un, R., en longueur (4.28 mètres, record), et l'autre, J., en poids (5.26 mètres, record, mais nul (x ). Et aujourd'hui, j'ai raté. Le championnat de France. 50 mètres. Les 25° étaient pris. Je suis 27°. Mais j'ai été jusque là. En 2 ans, même pas.
J'aimerai pouvoir raconter tout en détail. M'en rappeler à jamais. Mais ce serait bien trop long. Trop impossible. Comment décrire une émotion, si elle n'as pas de nom ? J'ai peut-être raté, aujourd'hui, mais je suis heureuse. Plus. Mitigé, ou non... Heureuse d'être arrivée jusque là. D'avoir découvert cette passion, cette joie que je ressent quand je réussi. Merci, à J., de m'avoir obligé à venir.
Marie
(je tiens à dire que ceci n'est pas une fiction, et que je raconte ma vie. Ce texte est sorti du coeur.)
Auteur: Nancy Springer
Résumé:
Enola n'a plus qu'une préoccupation: échapper à ses deux frères Sherlock Holmes and Mycroft Holmes, qui souhaitent en faire une lady, en l'envoyant en pension.
Voilà 8 mois qu'elle a ouvert son propre cabinet de détective "Spécialiste en recherches- Toutes disparitions."
Mais un jour de mai 1889, elle croise pas hasard une ancienne connaissance: Cecily Alistair. Et comment ne pas remarquer son désarroi ? Tout est encore plus étrange, car elle est encadrée de deux chaperonnes. A son départ, elle glisse furtivement à Enola un curieux petit éventail rose, qui recèle un mystérieux message.
Pour Enola, c'est le commencement d'une entreprise, qui, sans le savoir, va la mener face à un autre détective, son frère Sherlock.
Critique:
Ce livre est une très bonne lecture, très agréable ! Je me suis très vite attachée à Enola, une femme indépendante au XIXème siècle. On arrive pas à se décrocher de ce roman policier, empreint d'une petite touche d'humour. Malheureusement, parfois, il était simple de découvrir la solution de l'énigme, mais il y a toujours tant d'imagination de l'auteur.
Captivant. :)
Hello !
Nous voilà face à un petit problème : révisions+activité+blog=trop.
Alors nous sommes dans l'impossibilité de respecter les jours de posts :/
Bien sûr, vous pouvez toujours compter sur u article par catégories par semaines !
Bon W-E !
Il était une fois une fille...
Nulle, d'après elle... Elle aimait trop le regard des gens, avait constamment besoin de se faire rassurer.
Les gens, au début, comprenaient, mais, au fur à mesure, cesserent...
On lui dit de se ressaisir, la mis en garde.
Mais elle on pouvait plus reculer.
On la rejeta, amicalement au début.
L'athlétisme devint son sauveur, son passe-temps.
Elle s'y donna à fond, s'y investit plus que tout.
Cela paya, petit à petit.
Elle s'expliqua avec ses amis, regagna légérement leur estime.
Petit à petit, elle se reconstruit.
Elle était faible, gardait des traces de son difficile passé, dont certains passages, trop durs pour elle, n'étaient révélés à personne.
Mais ça allait. Elle trouvait un semblant d'équilibre.
Et ça lui plaisait... Ca lui redonnait courage
Ne perdez jamais espoir.
Jamais ?
Coucou tout le monde,
J'écris cet article pour vous expliquer pourquoi j'ai mis "(1)" à côté de l'article pour le livre Promise.
En effet, le livre Promise est le premier livre d'une trilogie. Le deuxième livre s'intitule donc Insoumise et le troisième Conquise. Je vous mets une image un peu particulière représentant les trois couvertures des livres.
Explications... comme vous avez pu le remarquer, on peut voir sur la première de couverture du premier tome une sorte de bulle où se trouverait Cassia, vêtue d'une robe verte.
Dans les autres tomes, Cassia se trouve toujours "dans" une bulle, mais qui évolue (couleur, position etc.)... Voici sur cette image les trois "bulles" de chaque livre...
La bulle bleue est donc pour le livre 2 et la rouge pour le livre 3...
Voilà :) Les prochains articles arrivent bientôt !
Alexandra.
Auteur: Ally Condie
Résumé:
Dans la Société idéale, les Officiels décident. Qui vous aimez, où vous trvaillez, ce que vous mangez, vos habits, vos distractions, où vous habitez, et quand vous mourez, selon des critères de comptabilité.
Pour Cassia, la vie semble parfaite lorsqu'elle apprend qu'elle est promise à son meilleur ami d'enfance, Xander. Mais quelques jours plus tard, une toute petite erreur dans le système va semer le doute, lorsqu'une photo de Ky lui apparaît, juste après celle de Xander. Elle se trouve face à un dilemme impossible: Xander, dont elle connaît tout, et Ky, dont il lui reste tout à explorer. Devrait-elle faire confiance à la Société prétendue idéale, comme elle l'a toujours fait, ou a l'amour ?
Critique:
Je ne regrette pas d'avoir lu ce livre, même si j'ai été un peu déçue: je m'attendais à une "réaction" de la part du peuple contre cettte société futuriste terrible, et le seul moment ou Cassia commence à réagir, c'est à la fin. Mai j'ai beaucoup aimé le monde où Cassia nous entraine, ses sentiments, ... à consommer sans modération ! ^^
Toujours cette impression qui me colle à la peau, l'impression de dire une bêtise lorsque je parle, que l'on m'en veuilles de mon silence. L'impression d'être déplacée, à côté d'eux, de leur aisance. L'impression de ne pas être seule, bien au contraire, ce serait trop beau ; mais l'impression d'être continuellement suivie de mes bourreaux, de mes erreurs. Je suis mon propre bourreau, je suis l'erreur la plus gênante, ici. L'impression de faire une erreur en me battant, mais aussi que c'est une erreur de laisser tomber. Et si tout cela n'était pas qu'impressions, mais seulement réalité ? Alors, je devrais souffrir, toujours. J'y serait condamnée. Faites que ce ne soient que des impressions, je vous en prie !
Désolée pour l'attente, j'ai eu un empêchement :/
Et petite pub (exceptionnelle, promis) pour un blog vraiment superbe qui nous fera nos illustrations : http://juliette-dessin.skyrock.com/
auteur: Jean-Christophe Rufin
nombre de pages: 184 (Folio)
-Résumé:
Comme son nom l'indique, Sept histoire qui reviennent de loin est constitué de sept histoires, nouvelles. Elles nous plongent à chaque fois dans un univers différent, et sont tour à tour émouvantes, amusantes, inquiétantes, poignantes... Un petit livre où l'on trouve sept intrigues, sept personnages principaux, sept lieux du monde, et sept dénouements, forts et inattendus.
Dans chaque histoire, une culture différente, mais aussi des questions contemporaines, tout en gardand toujours le même plaisir de lire.
-Critique:
C'est un petit livre assez facile à lire, et très attachant. J'ai beaucoup aimé ce livre, et chaque histoire: la fin reste toujours assez mystérieuse ce qui fait encore plus savourer la nouvelle. Ce sont toujours des fictions toujours venant de l'imagination de l'auteur, et chaque histoire est un moment de réflexion. Même l'image de couverture intrigue: de quelle origine est cette femme ? où est-elle ?
Bonjour à tous !
J'espère que vous allez bien, que ces textes, et ces critiques vous plaisent !
Nous voulons vous prévenir d'un léger "souci" : en raison des vacances scolaires, où nous partons toutes deux, nous ne serons plus en mesure d'assurer les trois articles par semaines :/
Il se peut même que ces deux semaines soient sans articles...
Merci de votre compréhension (ah, ah, j'aime cette vielle expression) et à bientôt !
Marie & Alexandra
Je t'aime. 3 mots tout c*ns, mais si tu savais ce qu'ils m'ont fait traverser... Mutilation, désespoir de re-sourire un jour, larmes refusant de couler... Quel foutu menteur tu fais ! "Je t'aime bien, en amie, beaucoup, même..." Si c'était vrai, tu aurais fait quelque chose. C'était de ta faute si j'etais dans cet état, soit, mais un mot gentil de ta part, n'importe lequel, aurait aidé. Je sais, je fait des histoires pour pas grand-chose, mais j'etais vraiment mal, tu sais... Tu vois, tu dirigeais ma vie, de loin, sans même le savoir. Mais ce vendredi-là, tu m'as prouvé que tu m'emm*rdais, profondément, même. Deux fois. Trop, c'est trop. Tu crois que je te manipules, eh bien, éclates-toi bien à chercher les preuves de cela. Elles n'existent pas. Je voudrais rester près de toi, toujours. Impossible. M'enfuir l'est encore plus : j'ai besoin de toi. Alors je reste à distance, mais jamais trop loin. Et je te prévient, Corentin. Je vais te faire ouvrir les yeux, et ça, ça va faire mal. Oui, c'est puéril, mais j'ai besoin de ça pour me libérer de toi. Tu verras comme elle se sert de toi, c'est elle la manipulatrice. Pas moi. Tu vas avoir mal. Si j'etais gentille, je t'aiderais à remonter la pente. Mais toi, tu ne m'as pas aidée. Enfin, si, au début, pour mieix me briser le coeur après.
Alors, je vais faire la méchante. Ça va être bon, de te voir comprendre, perdre ce sourire, et, au fur à mesure que tu verras que je disais la vérité, que ton sourire s'effacera, le mien renaitra, s'elargira. Oui, je suis cruelle. Mais ce n'est pas comme si tu ne l'avais pas été, toi.
Je te dirais : "Desolee, hein." Comme tu l'as fait. Et je me barrerais, loin de toi, de ta souffrance. Je me casserai, vers le bonheur, laissant celui que j'appellais mon ami dans le malheur. Comme tu l'as fait. Sauf que moi, c'est toi qui me faisait mal. Là, ce sera elle. Je serais donc moins cruelle, plus passive dans ton malheur, alors que toi, tu étais celui qui l'a créé, entretenu avec soin : pas trop, pour pas que j'essaie de m'enfuir, avec un petit soupçon d'espoir, mais tout de même affreux. Tu me tendais la main, et, au moment où j'allais la prendre, tu la retirais.
S*laud.
Marie